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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 13:51

Première journée dédiée aux médecines douces et pratiques alternatives, organisée à Epicentre Cowork le samedi 17 mai à Clermont-Ferrand, de 10h à 18h.


Les intervenants :
- Caroline Roger-Velt : Ayurvéda thérapies, soins énergétiques;
- Clarie Garnabedian : massage Bien être;
- Olivier Durillon : le kalarippayat; les médecines traditionnelles et croyances populaires (basé sur les travaus d'Hugues Berton);
- Emmanuel Elleaume : aromathérapie et chef d'entreprise Myrtea;
- Alain Rémery : pharmacien et chimiste, préparateur d'huiles essentielles;
- Gaël Rolhion : géobiophysicien, harmonisation de l'habitat;
- Julia Chatelus : Art thérapeute;
- Johanne Perret : coach, Signes de Reconnaissances;
- Chantal Chabrillat : Sophrologue et atelier Bol tibétain et Groupe de rire;
- Marie Laure Dublanchet : Coach;
- Evelyne Jacquinet : Sophrologue, Respiration;
- Bing Ling : médecin chinois et acupuncteur;
- Annick Fournier : acupuncteur et professeur de Chi Qong;
- Véronique Gimenez : Fleur de Bach et Shiatsu;
- Annette Rebord : Yoga;
- Lili : Féminin sacré et enseignement des Treize Mères Originelles.

Avec la participation exceptionnelle de Paul Joanny pour la dédicace de son livre Confession d'un pharmacien herboriste, éditions De Borée, 2014.
Restauration bio, locale et slow food : Clémence Moulinou.

Les organisateurs :
- Cécile Quintin ( http://iciestlart.com )
- Tanguy Deknudt ( http://www.y-be.biz )
- Caroline Roger-Velt ( http://rvcaroline.over-blog.com )
- Caroline Forest (conception graphique)

Prochaine journée Bien Être : samedi 13 décembre 2014 à Epicentre ( http://epicentrecowork.org ).
Inscription sur : y-be.biz 
et par mail : gaiacaro@hotmail.com

Vidéo réalisée par David Boyer (http://www.davidbfilm.over-blog.com)
Musique : The Song From Anna by Silvana Mangano
  • Catégorie
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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:56
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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 10:50
Bonjour

afin d'améliorer notre Web TV, auriez  quelques minutes pour répondre à ce sondage ?
 
en vous remerciant

Patrick Aujard



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4 juin 2014 3 04 /06 /juin /2014 00:43

Le coût de ces films ne pourrait être supporté par la collectivité si la réalisation était faite par un professionnel. L'intégralité du tournage, du montage, des arrangements... est effectuée par une seule personne(ouah). Effectivement, les moyens engagés sont modestes la caméra n'est pas en haute définition, il n'y a pas de micro perche... le montage se fait dans les bureaux du SIVOM et non dans un studio comme les professionnels le feraient. Alors certes, la technique peut être améliorée, mais ces choix permettent de projeter les films gratuitement et de les mettre à disposition du public, des organisateurs de manifestations par l'intermédiaire des médiathèques. Ces recueils de témoignages participent à la sauvegarde de la mémoire de notre territoire, ils répondent tout à fait aux attentes des habitants. Nous sommes sensibles à vos remarques et vous remercions de l'intérêt que vous pouvez porter à ces projets.

Film à Voir Ici 
http://www.sivom-ambert.fr/patrimoine/les-films.html

 

Le projet de films sur les Traditions Populaires a commencé en 2006.

Ces courts-métrages sont de véritables rencontres avec des personnalités aussi différentes que passionnantes.

Le projet de films sur les Traditions Populaires a commencé en 2006.

Les 10 films sont disponibles

Ces courts-métrages sont de véritables rencontres avec des personnalités aussi différentes que passionnantes.

Les 10 films sont disponibles dans les bibliothèques et médiathèques de l’arrondissement d’Ambert. Ils ont également à Issoire, à Thiers, Au Puy en Velay, à la Chaise Dieu, à la bibliothèque du patrimoine de Clermont-Ferrand.

  • « Au fil de l’eau », avec Jean Joseph Poumarat, sourcier
  • « Le paysan et la faux », avec Gilbert Costilhes, faucheur à ses heures
  • « La paille de seigle devient paillas », avec Joseph Voldoire, faiseur de paillas
  • « Le patia des jasseries », avec Odette Denis, experte en patia
  • « De l’arbre à la fontaine », avec Joseph Gourbeyre, creuseur de tronc d’arbre
  • « Comme saint Roch et son chien… » avec le Père Alain Théallier et Yolande Convert-Cuzin
  • « Alfred, gitan et vannier » avec Alfred Barry
  • « L’aventure du chapelet en pays d’Ambert » avec Yolande Convert-Cuzin, Alice Roche, François Martineau, Eliane Chaulin, Sœur Catherine et Marinette Gourbeyre
  • « Marius Débiton, facteur de vielle »
  • « Rencontre avec Charles, berger de la montagne de Monthiallier - Hautes Chaumes du Forez » avec Charles Forestier

Sorti le 30 octobre 2011, le film "rencontre avec Charles, berger..." a eu un extraordinaire succès : plus de 2000 spectateurs l'ont vu au cinéma La Façade à Ambert.


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1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 12:56

Ah bon!!!
Samedi soir à minuit, le 1er juin 2014, iC1 cessera sa diffusion, faute de modèle économique viable... et non faute de téléspectateurs ! Merci de votre fidélité à cette belle aventure, de nouvelles à suivre sur le site de www.lamontagne.fr

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29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 23:19

Plus dynamique que les écoles local, à prendre exemple

L'association Calandreta du Haut-Allier (Calandreta de la naut val d'as Alièr) est une initiative de parents impliqués dans la création d'une école associative, gratuite, laïque et bilingue occitan-français, entre Brioude et Langeac.

L'équipe de Télé Regain est allée à la rencontre des acteurs de ce projet.
Si vous souhaitez soutenir cette initiative :https://www.facebook.com/calandreta.v...

Sujet réalisé par : Géraldine, Nathali, Thomas, Quentin et Christophe.


Nous sommes aussi présents sur internet !
Facebook : https://www.facebook.com/TVRegain
Site web : http://tele-regain.toile-libre.org

_____

La Clef - Café Lecture :
Site web : http://www.cafelecturebrioude.fr/
Facebook : https://www.facebook.com/pages/La-Cle...
Youtube : http://www.youtube.com/user/laclefbri...

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19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 21:47
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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 02:17
MÉDIAS. Ces photographes de guerre qui risquent leur vie pour moins qu’un Smic

Les photojournalistes qui, comme Camille Lepage, couvrent les zones du monde à haut risque sont des passionnés, pour beaucoup très jeunes et freelance, souvent mal payés par des journaux qui réduisent les budgets.

Camille Lepage photographiée par Fred Dufour de l'AFP

Camille Lepage photographiée par Fred Dufour de l'AFP

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Cette photographe de 26 ans, tuée alors qu’elle effectuait un reportage en République centrafricaine, est emblématique d’une génération de reporters qui partent couvrir des conflits seuls, sans contrat et sont, de fait, plus exposés. 
«Détérioration mais aussi parfois précarisation réelle, notamment pour les reporters de guerre photographes» : l’enquête de la Société civile des auteurs multimédia (Scam) dénonçait en novembre 2013 leurs conditions sociales, précisant que 50% d’entre eux ne sont pas assurés et partent avec «leurs propres moyens, sans contrat de travail».

Patrick Roche, président de l’Union des photographes professionnels (UPP), confirme cette tendance : «les journalistes de façon générale, les photographes en particulier, partent dans des conditions de plus en plus difficiles, sans véritable commande».
Une généralisation de la couverture par des freelance qui modifie les relations avec les rédactions : «les titres attendent de voir les résultats avant de payer (...) avant on avançait l’argent, on savait où et comment vous alliez intervenir».
Obligés de supporter l’ensemble des coûts de reportage, les reporters indépendants mettent d’autant plus leur vie en danger. C’était aussi le cas de Rémi Ochlik, tué en Syrie en 2012, à 28 ans. Plus isolés, sans matériel adapté, ils s’exposent surtout lorsqu’ils se déplacent seuls, comme en témoigne le photographe de l’AFP Fred Dufour qui connaissait Camille Lepage.

«Les freelance, pour économiser sur les reportages, sacrifient les déplacements avec des chauffeurs. Au lieu d’en prendre un qui va connaître le terrain, ils vont prendre une petite moto, sans protection». Afin de réduire leurs frais de transport, beaucoup n’hésitent pas à partir avec des acteurs du conflit, comme la jeune journaliste qui accompagnait des milices anti-balaka lorsqu’elle a été tuée.
D’après Jean-Pierre Campagne, qui a couvert de nombreux conflits en Afrique pour l’AFP, l’une des clés de la sécurité en terrain de guerre est d’avoir «un moyen individuel de locomotion». «Quand tu pars avec eux, comme elle l’a fait, tu dépends d’eux, sans marge de manoeuvre, tu ne peux pas te dire "attention ! Là, je m’arrête"».

Des revenus inférieurs au Smic 
Les rédactions s’inquiètent de voir de plus en plus de jeunes journalistes-photo partir en zone de guerre sans conscience du risque.
«Certains partent la fleur à l’appareil-photo», explique Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières, indiquant que l’ONG leur prête parfois des gilets pare-balles, comme à Camille en septembre 2013.
Sur place, l’hébergement est un nouveau défi. Sur son blog de Mediapart, Thomas Cantaloube écrit : «comme la quasi-totalité des photojournalistes débutants, Camille Lepage était freelance. Elle finançait elle-même ses reportages et vivait dans la débrouille. À Bangui, elle était hébergée par Médecins sans frontières (MSF), pour qui elle faisait des photos».

Des conditions compliquées auxquelles s’ajoutent une rémunération très faible : selon la Scam, parmi les reporters de guerre, un photographe sur deux déclare toucher un revenu inférieur ou équivalent au Smic (13.000 euros nets par an). Le phénomène, qui s’accentue, d’après le président de l’UPP, est «dû à la crise de la presse écrite» ainsi qu’à l’orientation éditoriale des titres. «La Centrafrique intéresse moins que le people», lance-t-il.
Jean-Pierre Campagne déplore le manque de considération pour le travail de «ces jeunes qui [le] bluffent». «Il y a une déperdition entre l’investissement, le temps qu’ils passent et ce que le monde en fait». 
Même regret pour Jean-François Leroy, directeur et fondateur de «Visa pour l’image», festival international du photojournalisme, qui s’emporte lorsqu’on l’interroge sur la mort de la jeune fille.
«Qu’on s’intéresse au travail de ces jeunes journalistes quand ils essayent de témoigner et pas quand ils meurent ! Camille disait +je veux aller plus loin, là où plus personne ne regarde+ et elle en est morte».

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 17:09
Salut,

J'ai lu ça:
http://www.fondationfrancetelevisions.fr/actualites/bourses-de-la-fondation-5%C3%A8me-%C3%A9dition-les-candidatures-sont-ouvertes

et ça s'adresse à des jeunes de 16 à 25 ans:
- ayant un projet de film (docu, fiction ou animation)
- ne SUIVANT pas un cursus en audiovisuel (donc exit les DMA)
- habitant en zone soit "sensible", soit RURALE
- parrainé par une asso locale (ex: la Maison) et un professionnel

pour l'anim, à gagner: du matériel multimédia et du suivi dans le RECA (par exemple à l'emca)
pour les autres domaines, suivez le lien pour savoir.
Donc si vous avez rencontré lors de vos ateliers un(e) jeune correspondant à ce profil...

Marie.
--
les Journées du Film Bricolé
une manifestation organisée par la Maison aux Mille Images, 28, avenue Cohalion 63160 Billom
17-18 août 2013 à BILLOM
faites-vous des films!
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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 14:26

WWW.julicharlin.fr 

Si vous souhaitez me contacter pour vous renseigner ou passer une commande, vous pouvez m’adresser un message par ce formulaire. Vous pouvez également me joindre par téléphone au 06 66 91 89 95


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